A propos

Les "consultations sommeil" sont des consultations en une séance,  et il n'y a donc pas de suivi compris.

Les suivis sont uniquement disponibles, sans obligation, après une consultation sommeil dans un délais de maximum 3 mois suivant notre dernier rendez-vous. 

Chaque famille est différente et une situation vécue comme problématique pour certains ne constituera pas un problème pour d'autres. D'autres parents souhaitent surtout un accès à l'information pour vivre cette aventure à leur rythme avec un petit coup de pouce alors que d'autres familles ressentent le besoin d'un réel accompagnement.

Les consultations sommeil seront utiles aux familles qui rencontrent une problématique suite à un changement significatif ou à une période qui impacte le sommeil de leur enfant. Elle peut également être utile pour répondre à des questions précises ou pour s'informer et acquérir quelques cartes. C'est un échange où je suis là pour répondre à vos questions.

Le suivi est conseillé pour traiter des problématiques plus profondes qui n'aurait pas pu être entièrement réfléchies en une séance et/ou il manque des données pour traiter le problème à la source : un sommeil perturbé depuis plusieurs semaines/mois qui nécessite une vision globale et une analyse détaillée. Ce type de consultation peut également convenir aux jeunes parents qui souhaitent instaurer dés le début un plan d'habitudes saines pour les prochains mois.

Chaque enfant est différent et chaque famille l'est tout autant. Non, il n'existe pas de recette miracle ou de baguette magique et non, malheureusement, aucune solution préconçue pour faire dormir votre enfant. J'accompagne chaque famille dans ses valeurs, ses choix, ses ressentis et son vécu.

- Si vous souhaitez vous informer sur le sommeil d'un enfant ou sur tout autre sujet pour aborder votre parentalité avec confiance et assurance grâce aux consultations prénatales.

- Si vous souhaitez connaître des astuces pour mettre en place des habitudes saines et offrir à votre enfant des mises au lit plus sereines et des nuits paisibles.

- Si quelque chose vous tracasse ou si vous remarquez quelque chose qui vous semble anormal.

- Si les problèmes de sommeil de votre enfant persistent malgré vos efforts pour les résoudre, ou s'ils entraînent des problèmes de santé ou de comportement et que vous vous sentez démunis face à la situation.

- Si vous vous sentez dévalorisés et que vous avez perdus confiance en votre qualité de parent.

Les consultations à domicile, c'est avant tout un contact humain et être directement en relation avec vous me permet d'ouvrir mon champ de vision et visualiser de manière concrète le milieu de vie de votre enfant.

Les consultations en appel ou en visio sont mises en place pour s'adapter plus facilement à vos horaires, votre localisation et pour vous offrir plus de flexibilité. Pour un échange de qualité, il faut avant tout que vous soyez à l'aise et présent mentalement. Je propose ce mode de consultation parce que votre bien-être fait partie intégrante de mon approche.

Effectuez la transition avec douceur, pour les siestes dans un premier temps par exemple si vous sentez que votre enfant n'est pas à l'aise avec ce changement. Impliquez le dans le choix de son nouveau lit et choisissez avec lui des draps qui lui plaisent particulièrement. N'oubliez pas d'y ajouter des éléments familiers du lit de bébé pour assurer une transition en douceur.  

Pour une routine apaisante, il est primordial d'éviter toute surstimulation avant le coucher. Privilégiez des activités calmes, comme la lecture de livres, des massages relaxants, des exercices de respiration, un moment câlin avec une berceuse douce ou écouter ensemble ses histoires audios préférées. Créez un environnement serein avec une faible luminosité pour favoriser un sommeil paisible.  

Pour les plus petits, éviter le bain juste avant le coucher. L'énergie dépensée pour  réguler sa température est trop importante pour s'endormir dans de bonnes conditions. 

N.B : Un bain a + de 38 degrés devra être donné minimum deux heures avant le coucher et un bain a - de 38 degrés au minimum une heure avant.

Favorisez l'indépendance progressive. Un rituel sécurisant a un rôle très important dans le moment du coucher parce qu'il rassure l'enfant qui "sait ce qui va se passer ensuite".  

Commencez par des séances courtes d'endormissement seul, par exemple : quitter la pièce pour aller aux toilettes ou mettre en route une machine de linge au moment ou votre enfant est sur le point de s'endormir. Rassurez le en lui expliquant ce que vous allez faire et rappelez lui qu'il ne dort pas seul : vous êtes juste à côté et s'il en ressent le besoin, il peut vous appeler.

Ensuite renforcez positivement chaque étape. 

Répondez aux besoins de votre enfant avec tendresse. Assurez-vous que ses besoins physiques soient satisfaits, avant le coucher. Les réveils nocturnes dépendent de plusieurs conditions et la faculté de votre enfant à se rendormir seul lors de ses micros-réveils dépend également d'énormément de facteurs.

Remplir son réservoir affectif est indispensable et cela, avant, le rituel de mise au lit. Un enfant qui ne voit pas assez son parent pourrait se réveiller plus fréquemment simplement pour passer du temps avec et remplir son besoin affectif.

Alors câlinez-le, mettez en place des temps précieux et ensuite encouragez l'auto-apaisement avec des objets réconfortants qui pourraient l'aider lors de ses micros-réveils.

Les cauchemars sont normaux, rassurez votre enfant en le réconfortant doucement. Parlez-lui de ses rêves pendant la journée pour l'aider à comprendre ses préoccupations.

Vous pouvez aussi, rentrer dans son imaginaire. Il ne sert à rien de rationaliser car ses peurs, même si elles vous semblent absurdes sont réelles pour votre enfant. Invitez le à rêver en lui demandant de vous expliquer de quoi sera fait son rêve cette nuit, et lui dire que vous viendrez l'y rejoindre. Cela pourrait le rassurer et le focaliser sur des retrouvailles plutôt que sur une séparation. 

La peur du noir apparait vers l'âge de deux ans chez l'enfant. Avant, toute veilleuse ou source de lumière envoie un message contradictoire au cerveau du tout petit. Ceux-ci sont beaucoup plus sensibles que nous au source de lumière et cette petite veilleuse peut être la responsable des mauvaises nuits de votre enfant.

Si la veilleuse est importante pour vous, ou pour votre enfant lorsqu'il grandit, je vous invite à utiliser une veilleuse de faible intensité et de lumière rouge qui n'entrave pas le sommeil de votre enfant. La lampe de sel par exemple, en plus d'avoir un vrai aspect positif sur la qualité de l'air, sera parfaite avec sa couleur orangé.

Adaptez progressivement la routine de sommeil de votre enfant quelques jours avant le voyage. Une fois sur place, exposez-le à la lumière naturelle du matin pour aider à réguler son horloge biologique.

La lumière extérieur est primordiale pour l'installation du rythme circadien. Le matin, elle envoie le message que la journée commence et à contrario, quand le soir arrive et qu'elle diminue, elle informe le cerveau qu'il est temps de produire de la mélatonine (hormone indispensable pour trouver un sommeil de qualité).

Les signes indiquant que mon enfant a des problèmes de sommeil sont souvent assez visibles pour les parents. Ils incluent des difficultés à s'endormir, des réveils fréquents pendant la nuit, des cauchemars récurrents, une somnolence diurne excessive... Mais d'autres signes, peuvent également vous mettre la puce à l'oreille, comme : des changements d'humeur ou de comportement, de l'irritabilité, des difficultés de concentration...

Les nourrissons peuvent commencer à développer des habitudes de sommeil plus régulières vers l'âge de 3 à 6 mois, mais cela peut varier d'un enfant à l'autre. Vers 12-18 mois, il y a une maturation des cycles de sommeil chez l'enfant qui progressivement s'ajustent à ceux de l'adulte.

- Avant 6 mois : Il est complètement normal de ne pas faire ses nuits.

- Entre 6 mois et 1 an : Ce n'est pas mauvais pour un bébé de ne pas encore passer ses nuits. Cela se négocie en fonction des besoins de sa famille. Si les parents souhaitent que leur bébé passe plus rapidement ses nuits (vers 4-6 mois) ils peuvent modifier l'environnement de l'enfant et leur comportement.

- Au delà de 1 an : Continuer à se réveiller la nuit, sans réussir à se rendormir et enchainer ses cycles (les micros-réveils sont normaux) n'est pas sans risque : manque de sommeil, sommeil interrompu, s'il y a un apport alimentaire - risque de caries, surpoids, troubles digestifs...

Il est tout de même important de peser le pour et le contre, chaque situation est différente et mérite une expertise personnalisée et propre à la famille en question.

Les causes peuvent inclure l'anxiété, les changements de routine, les cauchemars, les problèmes de santé sous-jacents, et les habitudes de sommeil inappropriées, mais une multitude de raisons peuvent être la cause de troubles du sommeil.